Hier, j’ai été contrôlé par la Gendarmerie

Contrôles de police ou de gendarmerie

Hier, j’ai été contrôlé par la Gendarmerie.
En peu de temps tout était fini.
Ils ont été sympas et polis !!!
Ah oui j’allais oublier :
J’avais mes papiers
Je n’ai pas manqué de respect
Je n’ai pas essayé de fuir
Je ne suis pas recherché
J’ai pas commencé à prendre tout le monde de haut
Je n’ai pas fais de scandale
Je ne les ai pas filmés
Je n’ai pas insinué que leur mère avait un métier « ancien »…
Je n’étais pas armé
Je ne venais pas de commettre un méfait
Je n’avais pas agressé une personne….

Enfin bref ce n’est pas si difficile d’être une personne normale…

La grue de Langues O’ et ses symboles

La Grue de Langues O’, l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales, INALCO.

La grue de Langues O’ et ses symboles :

la grue, symbole d’immortalité dans la Chine ancienne ;

le serpent, symbole du temps dans la civilisation africaine ;

le croissant de lune fait référence à la civilisation arabe ;

la palme tenue dans le bec de la grue est symbole de victoire dans la civilisation gréco-romaine.

Les anciens élèves de l’INALCO ont désormais leur site. Inscrivez-vous, c’est gratuit et vous retrouverez votre cursus et vos diplômes en ligne. Un énorme travail de numérisation des données a été effectué !

C’est ici : https://alumni.inalco.fr/

PS : J’ai fait des études à l’INALCO de 1984 à 1989 et j’ai obtenu une licence de japonais (option interprétation et traduction), puis une maîtrise d’études japonaises.

L’origine du nom de famille « Bouthier »

Origine du nom de famille « Bouthier »

Étymologie

Boutherin : Porté notamment dans le Doubs, c’est un diminutif de Bouther, nom de personne d’origine germanique (Bothari : bod = messager + hari = armée) rencontré dans le même département. Le nom Bouther peut aussi s’écrire Bouthier (24). Variante : Bouterin (70). Autres diminutifs : Boutherand, Boutheron, Boutheyrand (43).

Source : https://www.geneanet.org/nom-de-famille/BOUTHIER

Mon 2e prénom, Georges, et la guerre de 14-18

Mon 2e prénom, Georges, et la guerre de 14-18

Mon 2e prénom est Georges. Au début, je pensais que c’était parce que ma mère s’appelle Georgette, sans savoir qu’elle-même tenait son prénom d’un de ses oncles – un frère de son père- mort à la guerre de 14-18.

Une façon de perpétuer le souvenir du défunt.

La preuve du grand théorême de Fermat enfin révélée

La preuve de Fermat enfin révélée par… Fermat en personne !

Une nouvelle traduction, vraisemblablement inconnue du public, de la Note en Latin de Fermat publiée dans l’ARITHMETICA (édition de 1670, page 61) a été dûment expertisée par un Professeur, Docteur spécialisé en latin médiéval. Elle suggère une démonstration très élémentaire (en 3 lignes de calcul!) du Grand Théorême de Fermat.

Cette étude détaillée faite par Monsieur Roland Franquart se trouve sur son site http://franquart.fr.

Vous y découvrirez l’explication détaillée du cryptage de nature strictement typographique choisi par Fermat.

Par ailleurs, vous découvrirez aussi le décryptage de nature alphabétique qui tient compte du double-sens du mot latin « detexi », lequel se disait des matériaux construits comme les fils d’un tissu.

C’est pourquoi Monsieur Roland Franquart aimerait avoir une expertise n’utilisant que les « outils » mathématiques du XVIIème siècle, évidemment.

L’inspecteur principal Jabot et le journaliste

Arrivé à Bordeaux après mon service militaire, j’ai habité quelque temps à la cité du Grand-Parc, un paquet d’immeubles et de tours massés sur une toute petite surface et regroupant 30000 habitants.

Un jour, mon voisin m’invite à prendre un café. Nous avions déjà échangé quelques mots et je savais qu’il était journaliste à Sud-Ouest et s’appelait « Philippon ».

Dans la discussion, alors que j’évoquais mon grand-père, Edmond Jabot, qui avait fait une carrière dans la police à Bordeaux, mon voisin s’écrie tout à coup : « Mais je le connais! J’ai même commencé ma carrière de journaliste en suivant ses enquêtes ! ».

Incroyable, n’est-ce pas! Et comme j’avais quelques photos avec moi, je les lui ai montrées. J’avais même une photo qui avait été prise par lui au cours d’une arrestation et qu’il avait donnée à mon grand-père. Les inspecteurs de police avaient alors une apparence bien différente d’aujourd’hui et rien ne semblait les distinguer des truands qu’ils combattaient. « Ton grand-père, il était toujours élégant, toujours tiré à quatre épingles. »  « Il avait parfois sa photo dans le journal ! »

À l’époque, il est vrai que les policiers avaient les honneurs de la presse lorsqu’ils avaient arrêté un gros bonnet du milieu ou un truand bien en vue.

Sur la photo, prise au Jardin Public de Bordeaux, l’inspecteur Jabot s’apprête à arrêter un militaire américain (sur la droite). On voit très bien les menottes qu’il a à la main et s’apprête à utiliser.

arrestation par Jabot